Récemment, le chef du Parti libéral du Canada, M. Justin Trudeau a annoncé la composition de son équipe économique. Une équipe expérimentée composée de 31 personnes, homme et femmes dont onze autres candidat(e)s du Québec et 19 autres du reste du Canada.
C'est vous dire toute la profondeur de notre équipe dont je suis fière de faire partie. Nous sommes une équipe forte, compétente avec beaucoup d’expérience et ce, sur tous les plans de l’économie dont l'économie verte. Forte d’une expérience de plus de 10 ans en financement des PME et en finance climatique (voir mon parcours ICI, j'entends bien, une fois élue, mettre mes talents et connaissances économiques et environnementales au service des préoccupations des citoyen(ne)s, et des organismes socio-économiques et politiques de la circonscription de Beloeil-Chambly.
Pour moi, comme pour vous, le développement économique est un des enjeux prioritaires de la campagne électorale. À ce titre, le Parti libéral du Canada propose un plan réaliste et concret en mesure d’aider les citoyens à travers le pays, en particulier dans Beloeil-Chambly. Notre plan repose sur trois principales mesures : une réduction
d’impôts et une nouvelle allocation familiale dédiées aux familles de la classe
moyenne, une refonte de l’assurance-emploi ainsi qu’une bonification des
investissements en infrastructures vertes, à hauteur de 20 milliards de dollars
au cours des dix prochaines années.
Par exemple, prenons notre nouveau plan d’investissement dans les infrastructures vertes. Concrètement, cette mesure pourrait financer des projets tels un nouvel aqueduc pour la ville de Marieville, aider à la protection des berges du Richelieu et du bassin de Chambly ou encore des milieux humides, comme ceux entourant l'Ile au Foin à Carignan et qualifiés, en plus d' «écosystème forestier exceptionnel».
Ce ne sont que quelques exemples parmi tant d’autres qui bénéficieraient aux citoyen(ne)s de nos municipalités montérégiennes et permettraient une croissance économique plus soutenue mais respectueuse de l'environnement. Le Parti libéral du Canada n’a pas peur de redonner à la population. Il propose un réel changement par rapport au dernier gouvernement Conservateur. Ces changements proposés réels et applicables, seront d’un grand bénéfice pour la circonscription de Beloeil-Chambly et c’est pour moi un devoir et un plaisir de m’assurer que ces changements soient à votre avantage.
mardi 8 septembre 2015
lundi 7 septembre 2015
M. Mulcair (Tom), chef du NPD, voici un billet ouvert sur l’exportation d’eau en vrac au Canada!
En tant que Québécoise, je co-signe ce billet et la lettre que nous vous adressons car certaines déclarations que vous avez faites au sujet de l’exportation d’eau en vrac, alors que vous étiez ministre de l’Environnement dans le gouvernement de Jean Charest, nous inquiètent au plus haut point
(voir : « A gun registry? No. Yes. No. Martin Patriquin on Tom Mulcair’s flip-flops », Maclean’s, 5 septembre 2015). Votre position à l’époque avait été qualifiée de « volte-face » puisqu’elle contredisait la position que le Parti libéral du Québec avait adoptée durant la campagne électorale de 2003 (voir : « Québec ouvre la porte à l’exportation de l’eau », ICI Radio-Canada, 15 juin 2004). Vous déclariez ainsi devant l’Assemblée nationale que vous appuyiez l’exportation d’eau en vrac à titre d’outil de développement régional :
« …si j’ai des coins où je ne peux pas avoir l’usine d’embouteillage, pour toutes sortes de raisons, mais je peux exporter, puis je suis capable d’assurer la pérennité de la ressource, puis ça pourrait donner quelque chose à la région, pourquoi je ne le ferais pas? C’est comme si on disait: Ah! tous nos arbres au Québec doivent rester là, il ne faut jamais les couper. C’est une ressource naturelle renouvelable, contrairement à une mine, là. Dès qu’on a sorti le minerai, c’est fini. Mais là c’est de l’eau. Si on le gère correctement, si on s’en occupe comme il faut, pourquoi on ne peut même pas en parler? C’est cette approche quasi religieuse que je n’arrive pas à m’expliquer… » (Thomas Mulcair, Assemblée nationale, 29 avril 2004)
« Ce que, nous, on dit, c’est la chose suivante: tout en respectant la Politique nationale de l’eau, qui vise à assurer la qualité et la pérennité de la ressource eau, et en ayant une bonne assise juridique aux termes de l’ALENA, on veut que les gens en région puissent tirer profit d’une ressource cette fois-ci renouvelable. » (Thomas Mulcair, Assemblée nationale, 15 juin 2004)
« Si on assure la pérennité, le renouvellement, la qualité de la ressource eau, si on s’assure d’une bonne assise juridique, pourquoi ce serait tabou de penser d’avoir une redevance, de faire de l’exportation? » (Thomas Mulcair, Assemblée nationale, 15 juin 2004)Pressé de questions par les journalistes quant à votre position, vous avez défendu vos déclarations faites en chambre en qualifiant l’interdiction de l’exportation d’eau en vrac alors en vigueur de « dogme » et en annonçant que vous n’aviez nullement l’intention de reculer :
« Le débat ne fait que commencer… Et ceux qui pensent m’intimider en me disant que je ne suis pas leur religion, dans laquelle ils m’inventent des commandements tous les matins, j’ai des nouvelles pour eux autres ». Vous écartiez par ailleurs du revers de la main les inquiétudes légitimes de plusieurs intervenants quant à la possibilité que l’autorisation de l’exportation d’eau en vrac en fasse une marchandise régie par l’ALÉNA (voir : « Exportation de l’eau potable – Mulcair persiste et signe », Le Devoir, 18 juin 2004).L’eau ne peut être traitée comme n’importe quelle autre ressource naturelle, ni ne peut-on la considérer comme une simple marchandise. Bien que le Canada possède d’importantes réserves d’eau douce, l’épisode de sécheresse historique et la pénurie d’eau qui ont frappé l’Ouest canadien ces derniers mois nous rappellent que cette ressource est fragile et qu’elle doit être préservée pour nous et les générations à venir. Nous sommes fiers du bilan du Parti libéral du Canada dans ce dossier. En effet, c’est le gouvernement libéral de Jean Chrétien qui a fait adopter en 1999 la première loi fédérale interdisant l’exportation d’eau en vrac des lacs et cours d’eau sous compétence fédérale. Monsieur Mulcair, vos déclarations à titre de ministre québécois de l’Environnement soulèvent de sérieux doutes quant à votre engagement envers la protection des eaux du Québec et du Canada. Il est de votre devoir maintenant que nous sommes en campagne électorale d’indiquer clairement quelles sont vos intentions puisque vous aspirez au poste de premier ministre :
Francis Scarpaleggia, candidat libéral dans
Lac-Saint-Louis
Rachel Bendayan, candidate libérale dans
Outremont
Karine Desjardins, candidate libérale dans
Beloeil-Chambly
Stéphane Dion, candidat libéral dans Saint-Laurent
Mélanie Joly, candidate libérale dans Ahuntsic-Cartierville
François-Philippe Champagne, candidat libéral dans
Saint-Maurice–Champlain
Peter Schiefke, candidat libéral dans Vaudreuil-Soulanges
Peter Schiefke, candidat libéral dans Vaudreuil-Soulanges
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